Fun times de Ruth Childs

Dans le cadre de la Swiss Dance Week

Comme l’annonce le titre, la pièce mettra en scène différentes variations sémantiques de la notion anglophone du fun.

L’élan premier de cette création est l’observation de l’acte assez primitif et même naïf de s’amuser ensemble (to have fun) ou alors d’être amusant ensemble (to be funny) mais aussi à l’inverse d’expérimenter l’acte moins confortable ou convenu - d’être triste ensemble ou de se moquer ensemble (to make fun).

Comment ces expériences communes peuvent se traduire chorégraphiquement et vocalement, dans leurs états bruts ou complexes.Maxime Kurve